En Mauritanie, les problématiques des droits humains suscitent beaucoup de débats entre institutions chargées de gérer ces questions et nombre d’organisations de la Société civile qui entendent promouvoir et défendre ces droits.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).