
Les Nouakchottois vivent, depuis quelques jours, pour ne pas dire semaines, une crise d’eau très aigüe. La grogne est énorme car trop de familles peinent à trouver le précieux liquide source de la vie.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.