Lorsque l’on vit un deuil, les mots pour dire ce que l’on ressent nous font souvent cruellement défaut. On se sent seul, on est submergé par ses émotions ou par le flot de souvenirs.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).