Notre pays connait, depuis la semaine dernière, un nouveau tournant menant à une phase décisive de la crise politique, économique, sociale et morale qu’il subit, du fait des comportements du pouvoir à l’égard de la chose publique.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).