Dans le même ordre d’idées, j’avais organisé une fois dans l’une des moughataa de Jleifti un groupe politique.
Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.




.gif)








.gif)






