
Francophones, les rédacteurs de votre journal préféré « Le Calame » et, surtout, leurs centres d’intérêt sont quasiment toujours mauritaniens.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.