Un PS épistolaire est parfois utile. Dans certains cas, il s’impose, même s’il peut être aussi long que la lettre. Dans ma ‘lettre ouverte’ au Colonel Ould Taya d’il y a quelques semaines, je l’avais ainsi adjuré : « Libère-toi !
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?