Le rejet, vendredi dernier, des amendements constitutionnels, par trente-trois sénateurs retentit en véritable coup de tonnerre, sur la scène politique nationale.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).