Nous vivons dans un monde où la globalisation culturelle écrase, en rouleau compresseur, toutes les spécificités des peuples dits en voie de développement.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).