Depuis que le président Mohamed Ould Abdel Aziz a décidé, après le rejet des amendements constitutionnels par le Sénat, de les faire passer par voie de référendum populaire, une hystérie généralisée a gagné toute la république.
L’enquête de haute facture réalisée par le site Madar, sur la gestion de l’aéroport de Nouakchott par la société Afroport et dont nous publions cette semaine de larges extraits, montre à quel point certaines entreprises étrangères implantées en Mauritanie foulent des pieds notre législation.




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