
Le Calame : Nous sommes à quelques mois de la prochaine présidentielle, on n’entend pas l’opposition se positionner ; elle est presque inaudible. Ce n’est pas votre constat ?

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.