
On s’en doutait un peu, pour ne pas dire que cela ne faisait aucun doute : l’aide française au développement est une arme diplomatique en Afrique.

Coupures d’eau, d’électricité et d’Internet récurrentes, alors que s’accroissent les difficultés à joindre les deux bouts – du mois, pour ceux qui ont la chance d’avoir un salaire régulier, aussi faible soit son montant –, voilà largement de quoi indigner nos populations devant les énormités des manquements gestionnaires relevés