
La course contre la montre est donc engagée, par la sélection mauritanienne qui devra, le 19 juillet prochain, reprendre du service, après pratiquement deux mois d’inactivités.
On s’étonne à bon droit de l’incohérence politique que cela implique : on ne peut pas prétendre mettre fin à l’incurie et la corruption… tout en entretenant les conditions qui les génèrent.