
Dans le vacarme sur la toile suscité par l’origine de la fortune de la famille Cheikh Ayah, une voix autorisée vient de jeter un pavé sur la mare.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.