« Je n’ai jamais déjeuné avec l’Etat », dit, un jour, un éminent constitutionnaliste français, Gaston Jèze, en l’occurrence.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).