Le Calame : vous venez d’être élu vice-président de l’UPR, suite à son 2e congrès tenu, les 28 et 29 décembre dernier. Quel est votre sentiment ?
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.