Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).
Mon article ‘’Il faut sauver le Soldat Beheit’’, paru dans Le Calame 1078 du 21 juin 2017, a fait l'objet d'un commentaire de la part du président de l'Association mauritanienne de la francophonie, monsieur Ahmed
Oum Tounsi, ce nouvel aéroport qui a fait couler beaucoup d’encre et, certainement, beaucoup plus de sous –Pardon, de terrains – continue de faire parler de lui.
Si rien n’est fait, en urgence, pour l’école mauritanienne, l’avenir de ce pays est compromis. Le développement de la Mauritanie repose sur sa jeunesse. La jeunesse est l’espoir de notre pays.
La Mauritanie est un pays à économie d’endettement, comme d’ailleurs la plupart des pays du globe, à l’exception de ceux qui abritent des places financières de renom.
La constitution institue les règles fondamentales de l’Etat en fonction de sa situation politique, sociale et économique au moment de son adoption. L’Etat commence l’établissement d’un système démocratique sur cette base.
Bac : Excellence, notre Enseignement est soufrant je vous invite le 15 juillet à Maaden pour le soulager.
De quoi souffre-t- il ? Voici des chiffres expressifs.