Le rejet, vendredi dernier, des amendements constitutionnels, par trente-trois sénateurs retentit en véritable coup de tonnerre, sur la scène politique nationale.
Les Mauritaniens se rendront aux urnes le 29 Juin prochain pour (ré)élire leur président de la République. Une élection sans enjeu, serait-on tenté de dire, tant le Président sortant part largement favori.