L’incident du vendredi 24 octobre 2014, dans l’enceinte de la plus grande mosquée de Nouakchott, ne doit pas être perçu comme une histoire marginale. La banaliser ne sert strictement à rien.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine