
La situation se répète chaque été. Invariablement. Des centaines de mauritaniens font le pied de grue devant l’ambassade d’Espagne pour obtenir le visa qui leur permettrait de passer des vacances aux Iles Canaries.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.