
Nos camarades de Lixeiba sont arbitrairement détenus dans des conditions effroyables depuis le deux juillet 2019 pour avoir osé dénoncer le coup de force électoral qui a propulsé le Général Ghazouani au rang de chef de l’Etat.
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.