
Suite aux attentats terroristes contre Charlie Hebdo, le 11 janvier dernier, bon nombre de figures politiques et intellectuelles françaises ont versé dans des surenchères ou délires islamophobes jamais atteintes en France.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.