
Le Calame : Vous êtes à la tête de la zone franche de Nouadhibou depuis deux ans déjà. Comment se porte-t-elle ? Est-elle en passe de répondre aux attentes placées en elle ?
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.