
Cela fait maintenant plus de douze ans (août 2012) que le développement non contrôlé de la pêche artisanale du poulpe à Nouadhibou a pris une tournure inquiétante.

Coupures d’eau, d’électricité et d’Internet récurrentes, alors que s’accroissent les difficultés à joindre les deux bouts – du mois, pour ceux qui ont la chance d’avoir un salaire régulier, aussi faible soit son montant –, voilà largement de quoi indigner nos populations devant les énormités des manquements gestionnaires relevés