
On disait naguère : « Coupe de sa lèvre et fais-lui avaler » ou, comme au poker (ou au blind, c'est tout comme) : « prête-moi mon fonds et joue avec moi pour que je te mange ».
Une page se tourne mais l’histoire n’en est pas finie pour autant. Le procès en appel d’Ould Abdel Aziz, de deux anciens Premiers ministres, de hauts responsables et des hommes « à tout faire » a rendu son verdict… mais l’affaire n’est toujours pas close.