
Il existe des heures graves dans l’histoire d’une nation où l’on ne peut plus se contenter de murmurer. Se taire devient alors une complicité et détourner le regard un crime contre l’avenir.
C’est la question de la semaine : Après plus d’un an à la tête de la Primature, Ould Diay a-t-il réussi ou échoué ? A-t-il pu insuffler un sang nouveau à une institution qui en avait tant besoin ? Est-il parvenu à coordonner avec succès l’action d’un gouvernement dont il n’avait pas prise sur certains membres ?