
Au moment où le débat autour de la négociation relative á la résolution du génocide Mauritanien appelé par euphémisme le passif humanitaire s’intensifie, des divergences préoccupantes émergent par rapport á la démarche á suivre.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.