Le mal du pays natal

Les temps passent vite. Déjà presqu'un mois du second mandat. Alors plus que quatre ans et encore quelques mois et quelques jours. Donc, ce n'est plus cinq ans.

En analysant un tant soit peu sa situation sociale, économique et politique, on doit admettre que la Mauritanie a été rattrapée par l'ampleur et la cruauté de son passé esclavagiste.

Le rêve de l'émigration hante beaucoup de jeunes mauritaniens compétents et bien diplômés.

Du 09 au 11 Août courant, le dojo Morihei Hueshiba, le campus 1 devant le village C, l’avenue des écoles, la salle des Sports de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis et le Centre Olympique des Sports, Arts martiaux, Loisirs,

Depuis quelques temps, c’est devenu une tradition ; une coutume même : chaque institution affiche les effigies de tous les responsables qui se sont succédé à sa tête. Une sauvegarde de sa mémoire, en quelque sorte.

Les Mauritaniens, personne ne sait où faut-il « leur venir ». C'est-à-dire : comment savoir ce qu'ils veulent… s'ils le savent réellement.

Mon cher cercle d’amis intimes

Certaines situations relèvent d’une telle réminiscence qu’elles s’imposent à nous en unique faculté ordonnée par le ciel. Pourtant, le monde évolue un peu vite ailleurs et les grands enjeux avec lui.

Suite à la réélection du président Mohamed ould Cheikh El Ghazouani, les exclus, les marginalisés, les déshérités, les laissés-pour-compte, les opposants et les autres patriotes aspirant à l'alternance démocratique vont encore sou