Le Calame : Après avoir été président du Burundi, Haut représentant de l'UA et Médiateur de la Francophonie, pourquoi êtes-vous candidat au secrétariat général de l'OIF ?
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.