Des ex-sénateurs appellent à l’annulation du sommet de l’UA

16 June, 2018 - 14:16

Les membres du Sénat mauritanien, dissous, à la faveur des amendements constitutionnels contestés adoptés suite à un réferendum tout aussi contesté appellent à l’annulation du sommet de l’Union Africaine (UA) prévu du 28 juin au 2 juillet 2018 à Nouakchott.

  Les ex-sénateurs demandent d’orienter les fonds alloués au sommet vers des programmes de lutte contre la sécheresse.

  « Une sècheresse sans précédente menace les ressources animalières qui constituent la source de vie de la majorité de la population mauritanienne », ont indiqué les ex-sénateurs dans un communiqué rendu public à cet effet.

Le communiqué appelle par ailleurs à une élection présidentielle anticipée. Ce scrutin élection devra se dérouler en 2019.

 Le Sénat (chambre haute du parlement mauritanien) a été dissous suite au référendum constitutionnel du 3 août 2017. D’autres modifications constitutionnelles ont été approuvées dont le changement du drapeau et de l’hymne national, suivi d’une dématérialisation de la monnaie nationale.

Les membres du Sénat mauritanien, dissous, à la faveur des amendements constitutionnels contestés adoptés suite à un réferendum tout aussi contesté appellent à l’annulation du sommet de l’Union Africaine (UA) prévu du 28 juin au 2 juillet 2018 à Nouakchott.

  Les ex-sénateurs demandent d’orienter les fonds alloués au sommet vers des programmes de lutte contre la sécheresse.

  « Une sècheresse sans précédente menace les ressources animalières qui constituent la source de vie de la majorité de la population mauritanienne », ont indiqué les ex-sénateurs dans un communiqué rendu public à cet effet.

Le communiqué appelle par ailleurs à une élection présidentielle anticipée. Ce scrutin élection devra se dérouler en 2019. Le Sénat (chambre haute du parlement mauritanien) a été dissous suite au référendum constitutionnel du 3 août 2017. D’autres modifications constitutionnelles ont été approuvées dont le changement du drapeau et de l’hymne national, suivi d’une dématérialisation de la monnaie nationale.