« Il faut trois personnes pour faire une société » et « un droit, là où se tient société ». Ces sentences, attribuées aux Latins d’il y a deux mille ans, sont de valeur universelle.
Les Mauritaniens iront donc aux urnes le 29 Juin pour réélire le président Ghazwani. « Pourquoi lui et pas un autre ? », serait-on tenté de se demander. Tout simplement parce que c’est une élection sans enjeu. Il n’existe, à ce jour, aucun candidat capable de lui porter contradiction.