Un directeur d’établissement public a été relevé de ses fonctions la semaine dernière ; un autre limogé ; le coordinateur d’un grand projet, qui a pris ses aises avec la gestion, devrait suivre sous peu.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).