Des commerçants des marchés de la capitale, notamment ceux du célèbre «Cha’ri erezek » font depuis quelques jours un grand tapage médiatique autour de la perception des impôts sur les commerces qu’ils tiennent.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).