On observe depuis quelques jours, comme une espèce de pause, dans les manœuvres politiques. Le mois béni de Ramadan, en dépit de ses longues soirées et veillées nocturnes, paraît avoir affaibli l’ardeur de nos politiciens.
Le président de la République était à Nouadhibou il y a quelques jours. Il s’est rendu à Kiffa samedi dernier. Quoi de plus normal à moins de deux mois d’une élection présidentielle où il est candidat à sa propre succession ?