Ce point de vue ne relève d’aucun parti pris idéologique ou politique, mais d’une lecture objective et sereine des dispositions de la Constitution Mauritanienne.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).