Les Mauritaniens sont unanimes : la dilapidation de l’argent public était quasiment systématisée. Depuis, au moins, une bonne vingtaine d’années. Ce n’est pas totalement faux.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).