J’ai lu ces jours, non sans sourire, dans Le Calame, l’interview de mon compatriote Boydiel Ould Houmeid que je respecte.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).