
Ma relation avec mon frère et cher ami Feu Ahmedou ould Mohamed ould Abel Aziz avait débuté au milieu des années quatre vingt-dix. Je l’avais connu depuis lors accueillant et toujours souriant.

Le docteur Nedhirou ould Hamed s’y essaya en son temps et fut emporté par le courant qui charrie tous ceux qui essayent de mettre un peu d’ordre dans le secteur pharmaceutique de notre pays.