
J’ai lu avec beaucoup de plaisir deux beaux textes évoquant des enfances en Mauritanie. Le premier du doyen Bezeïd, intitulé « Mederdra de mon enfance » et l’autre de mon cher collègue Mohamed ould Ahmed Meidah.

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.