
Certains passages parus récemment dans des interviews et articles de M. Mohamed Ould Abed et M. Mohamed Lemine Ould Deiddah, suscitent de ma part les remarques suivantes :

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.