
Le débat autour du projet de loi pour la réforme de l’Éducation monte en spirale. Chaque mauritanien doit pouvoir verser ses ingrédients dans la marmite en bouillonnement. C’est plus que nécessaire.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.