Lors de sa première conférence de presse en Mauritanie, tenue ce Mercredi 05 Février 2020, Canal+ a décidé de commencer la nouvelle année en beauté, en proposant un nouveau prix pour sa formule ACCESS.
Par cette décision, Canal+ souhaite donner un coup d’accélérateur à son processus d’accessibilité de ses prix en Mauritanie, a indiqué Mohamed Kamara, responsable de la communication à Canal+. Ainsi, les prix de cette formule passent de 400 MRU à 320 MRU et ce à compter du 1er Février 2020. Cette mesure vise à permettre à la Société de mettre en avant une formule de qualité et qui soit accessible par tous les abonnés de Canal+ tout en tenant compte du niveau de vie de la population en Mauritanie.
Une offre riche et accessible
Pour le responsable communication Canal+ Mauritanie: « Ce prix est valable pour toujours. Il ne s’agit pas d’une offre promotionnelle ponctuelle ; mais, une baisse définitive du prix de la formule Access. »
La formule ACCESS comprend aujourd’hui 117 chaînes, radios et services. Les abonnés peuvent notamment retrouver des chaînes célèbres comme : SUNU YEUF, 2STV, TFM, AL-MOURITANIYA ou encore Novelas TV.
Cette formule cherche à promouvoir et à proposer une diversification importante des programmes, afin que chaque abonné Canal+ puisse se retrouver dans ceux-ci. C’est pourquoi, la formule Access offre des chaînes spécialisées dans le divertissement, l’information, le sport, mais aussi les programmes jeunesse et les séries.
Toujours, selon le communiqué de presse du 29 Janvier dernier, ce changement de prix est une preuve d’une réelle volonté de la part de Canal+ de rendre la culture et l’information accessible à tous.
La concurrence oblige?
A la question de savoir si la baisse du prix de la formule Access est liée à la concurrence, le responsable communication répond : « La concurrence existe toujours. La baisse de prix est une politique d’accessibilité de Canal+. La concurrence est toujours bénéfique au marché. Nous offrons nos services, en Mauritanie, depuis le début des années 2000. Mais nous ne nous sentons pas menacés. ».
BOUDAHI