Une centaine d’acteurs de première ligne des zones impactée par la crise dans les pays du G5 Sahel, chefs coutumiers et traditionnels, imams et autres hommes de religion, membres des associations de femmes et de jeunes, ainsi que des experts, ont recommandé l’organisation de rencontres régulières pour un large partage des bonnes pratiques dans le cadre de la gestion des conflits, vendredi à l’issue d’un atelier de concertation de 3 jours organisé à Nouakchott
Les pays du G5 Sahel sont le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
Par ailleurs, l’atelier de la capitale mauritanienne a recommandé la consignation de toutes les bonnes pratiques et expériences de gestion des conflits, dans un document à diffuser largement au sein du réseau et dans toutes les communautés frontalières.
Les conflits dans les zones ciblées peuvent apparaître sous diverses formes, notamment entre agriculteurs et éleveurs, ou avoir parfois une dimension ethnique.
La rencontre de Nouakchott a impliqué les populations des zones frontalières impactées par la crise sécuritaire et le changement climatique.
C’est la question de la semaine : Après plus d’un an à la tête de la Primature, Ould Diay a-t-il réussi ou échoué ? A-t-il pu insuffler un sang nouveau à une institution qui en avait tant besoin ? Est-il parvenu à coordonner avec succès l’action d’un gouvernement dont il n’avait pas prise sur certains membres ?