En lisant votre billet intitulé : Cheikh Ould Baya président de la zone franche de Nouadhibou : Pourquoi pas ? paru dans l’édition du journal LE CALAME N 984 je cite : « ……CHEIKH OULD BAYA le gestionnaire, le politique, force tranquille et mobilisatrice, il incarne qu’on le veuille ou non une belle image….. il est bien LE BON CHOIX pour la ZONE FRANCHE », on a l’impression que vous vous situez dans une logique exclusive. On saurait accepter qu’il soit UN bon choix mais pas l’unique. Et puis si vous avez trouvé le remède pour la zone franche sans toutefois nous dire de quoi elle est malade, on sollicite vos hommes dans bien d’autres secteurs plus vitaux et qui pâtissent non sans complaisance du règne de la médiocrité.
Quand vous dites que vous pouvez témoignez de l’intégrité de l’homme et des vertus qu’il incarne en s’appuyant sur des sourates du saint coran, M.X ou Mme Y peut aussi attester de la probité et des compétences de son Baya à lui. « X ou Y n’écrit pas comme d’autres préparent des coups d’Etat. X ou Y ne convoite ni pouvoir ni honneur. X ou Y veut seulement dire, devant son pays ce qu’il a vu et ce qu’il pense », en essayant, cher talentueux chroniqueur avec votre permission de vous paraphraser.
N’ayant personnellement rien contre Ould Baya que vous (re)placez sous les feux de la rampe et ne connaissant pas l’actuel président de la zone franche, mes observations ici s’adressent à vous confrère Beyrouck. Cheikh Ould Baya président de la zone franche de Nouadhibou : Pourquoi pas ? N’est-ce pas une sortie pour le moins inattendue de la part de celui qui nous a habitué à une ligne rédactionnelle qui affiche l’indépendance dans le traitement de l’information et l’impartialité de l’analyse. L’omission bien avant dans vos écrits de la devise « Je ne suis ni de l’opposition, je ne suis ni de la majorité, je suis ailleurs» a-t-elle un sens ?
Moustapha O/ Bechir
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.