En dépit de l’envoi sur place d’une équipe de lutte par le ministère de l’agriculture, les oiseaux granivores qui détruisent les parcelles de riz dans les communes de Lexeiba I et Ganki (région de Kaédi) font toujours la loi.
Après son arrivée lundi, l’équipe de lutte a procédé à des essais. Le produit utilisé pour enrayer le fléau semble « efficace » mais les éléments chargés des opérations fournissent un travail au ralenti.
Une action à dose homéopathique que les populations ne comprennent pas.
Du coup, on se demande si la lenteur constaté dans le traitement d’un phénomène aussi dangereux n’est pas motivée par le désir de prolonger la durée de la mission en vue d’en gonfler les frais et autres indemnités.
Une pratique très courante chez nous.
L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.




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