Les travaux de l’Atelier sous-régional des parlementaires et élus locaux sur les thématiques du changement climatique, la biodiversité et l’économie verte ont débuté ce lundi matin à Nouakchott.
Cet atelier est réalisé en amont de la 21ème conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques qui se tiendra prochainement à Paris, à l’issue de laquelle un accord universel et contraignant pour la lutte contre le réchauffement climatique sera adopté.
Lors d'une allocution prononcée à l'occasion, le député Sidi Baba Ould Lahah, président du réseau parlementaire chargé de l'environnement en Mauritanie a indiqué que l’objectif de cette rencontre régionale est de contribuer à la formulation d’une position africaine commune à cette même conférence afin que les priorités du continent en matière de gestion du climat y soient prises en considération, en particulier celles de la façade marine et côtière de l'Afrique de l'Ouest.
Pour sa part, le ministre de l'environnement a rappelé les efforts déployés par le gouvernement dans le secteur, ajoutant que les Nations Unis ont salué l’engagement de la Mauritanie dans ce sens.
Les pays participants à cette rencontre sous-régionale sont la Mauritanie, le Cap Vert, le Sénégal, la Gambie et la Guinée-Bissau.
On ne le dira jamais assez. La lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion et le détournement des deniers publics est un combat de longue haleine. Il ne suffit pas de la proclamer mais il faut la mettre en œuvre par des mesures fortes. Radicales, s’il le faut.