La Mauritanie est un pays contradictoire. C'est à dire un pays de contradictions. Un petit pays qui est devenu selon les données du dernier recensement vers les cinq millions. Puis, il ya le budget " revu et corrigé" que les parlementaires viennent d'adopter avant d'aller déguster un dîner aux frais de la princesse offert par le premier ministre ou par le président de l'Assemblée nationale. Un budget de plusieurs centaines de milliards. Imaginez un peu une petite division de calcul : Budget national divisé par les cinq millions que nous sommes. Ça donnera combien? À mon avis, le gouvernement devrait organiser un referendum comme celui du Oui ou Non pour demander aux Mauritaniens qui d'entre eux veut sa part qu'il voudrait gérer lui-même. Mais attention qui sort du pays n'a plus droit à rien: ni électeur ni éligible à rien. Ne boira plus notre eau. N'ira plus à notre école républicaine. Ne se soignera plus dans nos structures sanitaires. N'empruntera plus ni nos rues ni nos avenues. Ni pensionnaire ni à la caisse ni à la Cnam ni à la Cnass. Ne doit plus saluer notre drapeau ni réciter notre hymne national ni s'émouvoir de notre devise nationale: pas de fraternité, point d'honneur et aucunement de justice. Tu as pris ton argent. Tes dizaines de millions. Alors nous te confions à Allah et bye bye. C'est un peu du hors sujet, mais je m'en excuse. Je sais que l'actualité maintenant, c'est l'eau qui malheureusement a fait des dégâts. Merci nos braves soldats de la marine nationale d'avoir si vaillament secouru nos populations sinistrées. Mais comment expliquer que dans les kiosques scolaires de l'Institut Pédagogique National il ya un gros déficit des livres qui se retrouvent "miraculeusement" sur les étals des vendeurs informels du marché prés de l'ancien siège des Anciens Combattants ou à quelques encablures de l'ancienne GRALICOMA pour les anciens élèves des écoles Marché, justice, école 7, école Khayar, école 8 et autres écoles 5 et 6. Les manuels scolaires comme les fameuses tenues obligatoires de notre fameuse " zécole" républicaine à deux vitesses qui fait tellement jaser. Et nous dire qu'avec ce mandat nous sortirons du " cou de la bouteille" comprenez ça en Arabe et vous comprendrez! Salut!
Sneiba El Kory
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.