Au croisement de l’innovation technologique et de l’autonomisation des femmes dans le domaine du numérique, Mansoura Mahfoudh, fondatrice de Halty, brille à la conférence . À la conférence internationale de l’ISESCO sur le rôle des femmes leaders dans l’autonomisation, elle a captivé l’audience avec sa vision novatrice, en présence des premières dames de Mauritanie, Mariem Med Vadhel, et du Sénégal, Mariam Faye Sall.
Sous l’aile de l’incubateur Open2Incub, Halty se profile comme une startup prête à révolutionner l’industrie des services de beauté et particulièrement à domicile, tout en s’engageant spécifiquement dans l’autonomisation des femmes dans le domaine du numérique. Cette initiative prometteuse répond ainsi aux défis particuliers de cette autonomisation numérique.
L’application mobile Halty, par Mansoura Mahfoudh, vise à offrir des services de beauté à domicile, soulignant ainsi l’importance cruciale de l’autonomisation économique des femmes dans le contexte numérique. La plateforme redéfinit les normes du secteur tout en facilitant l’accès à des services de qualité.
La présentation de Halty par Mansoura Mahfoudh à la conférence, en présence des premières dames et de Monsieur Mohamed Abdallahi LOULY, Ministre de la Transformation Numérique, de l’Innovation et de la Modernisation de l’Administration et de Mohamed Waled, président des services du Patronat Mauritanien marque une étape significative. Ces personnalités ont été particulièrement interpellés par l’originalité de Start up Halty
À l’heure où le numérique devient un catalyseur essentiel de l’autonomisation, Halty, porté par la vision unique de Mansoura Mahfoudh et la participation de personnalités clés, s’apprête à illuminer le monde numérique en offrant bien plus que des services de beauté .
Mansoura Mahfoudh a déclaré en marge de cet événement que le numérique est un accélérateur de développement et de création de richesse pour les femmes .
Il y a quelques semaines, un ancien fonctionnaire devenu conservateur de bibliothèque, Ahmed Mahmoud ould Mohamed, dit Gmal, publiait sur Facebook un post au titre évocateur : « La mémoire en décharge : quand les archives nationales finissent dans les ruelles de Nouakchott ».