Les États-Unis ont effectué un autre vol de rapatriement vers la Mauritanie, le Sénégal, la Guinée et l'Angola, jeudi 14 décembre, a annoncé un communiqué de l'ambassade américaine en Mauritanie. ''Ce vol comprend un grand nombre de ressortissants mauritaniens qui n'avaient pas d'autorisation légale pour résider et travailler aux États-Unis. L'inclusion de nombreux Mauritaniens dans ce vol marque le deuxième d'une série de rapatriements en cours en réponse à un afflux de Mauritaniens traversant irrégulièrement la frontière américaine'', indique le communiqué. Le gouvernement américain ne fournit aucune compensation monétaire aux personnes rapatriées ou à leurs gouvernements respectifs, précise ledit communiqué. Cependant dans la poursuite d’une approche humaine, ''les États-Unis garantissent le bien-être des personnes susceptibles d’être rapatriées en leur offrant de la nourriture, un hébergement temporaire, un examen médical et un transport aérien vers leur pays d’origine aux frais du contribuable américain. Tout potentiel immigrant qui traverse irrégulièrement la frontière bénéficie d'un contrôle judiciaire impartial pour examiner sa demande légale avant d'être rapatrié'', ajoute le document.
L'ambassade américaine rappelle que ''ces actions constituent notre engagement à traiter les individus avec dignité et compassion tout au long du processus de rapatriement''.
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.