Un cas humain de fièvre hémorragique Crimée Congo a été confirmé le 28 juillet, au niveau du Centre hospitalier national de Pikine dans la banlieue de Dakar, informe le chargé du bureau OMS Sénégal, Dr Dossou Vincent. Il s’agit d’un ressortissant mauritanien de 69 ans, commerçant de profession. Les résultats ont mis en évidence une infection récente au virus de la fièvre hémorragique Crimée Congo, confirme l’Institut Pasteur.
Les renseignements collectés à son arrivée ont permis de constater que le début de la maladie remontait au 17 juillet et que la première consultation pour prise en charge médicale a eu lieu dans une structure sanitaire en Mauritanie, le 18 juillet, indique la notification publiée par le ministère de la santé sénégalais.
Le patient est décédé le même jour, peu de temps après son admission. Le CHN de Pikine a été appuyé pour une gestion sécurisée du corps.
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.